ou en demandant, différemment jusqu'à maintenant, que les moraines latérales du glacier nous paraissent bien plus terrible et plus longues qu'on montant et on n'avance souvent qu'en chancelant. Les pentes du Krystae Peak sont couvertes de verdures beaucoup de fleurs, je ramasse quelques graînes de primevères et arrive au camp à 4h après avoir pris quelques photos. Crowley arrive beaucoup plus tard avec une porte diarrhée et complétement aplati. Je prépare le thé quand les kiltas des cuisine sont arrivées. Après-midi : été faire un tour au-dessus du camp vers les pyramides où je trouve des ephedras en fleurs pour la première fois. Rentré au camp ; Crowley salit la tente et les abord avec la diarrhée, je fais enlever mon sac-lit et monter une tente Mummery où ça pue. Je vais finir la soirée chez Eckenstein et Knowles qui ont leur tente sur le pierrier, tandis que le marbre en au fond du creux, sur le Sahle. Fait le souper puis couché et lu à la bougie sous ma petite tente où l'on est rudement bien seul. On décide de rester ici demain, aussi se laisse
ou vivre doucemement, en lisant les journaux de Suisse, et l'on fini par se croire bien loin du Baltoro et de ses déceptions !