1887
28 août
Beau. Chaud. Soir : orage. (pesenteur)
Levé à 6 heures. Rôdé avec Joseph. Déjeuné chez Wys (qui connait Schaffer). Rôdé autour de la place de fête. Vus les cerfs vers la gare. Eté jusqu'au casino. (Joseph a peur de ne pas avoir de la place, pas vu le cortège). Lutte. Elle commence à 10 1/2. Vu (Beaujon. Perrochet et Tripet). Interruption à 2 heures jusqu'à 2 1/2. Eté dîner ouvert ma boîte de chicago. Coupé. Continuation de la lutte jusqu'à 3 1/2. Eté Dîner à 6 heures pris le train pour Gümlingen. De là à pied jusqu'à Biglen (Quilliard, Vorbe). C'est long. Claire de lune. Arrivé à Biglen à 8 3/4. Rattrapé Horni et Houriet. Vin, pain chez le père. Plattner. Démontage de lits dans l'école (Septaine de dissémination de pensionnaires dans le canton de Berne) (Tu venais sale)[Tout venait sale?]. Blagué. Toujours la peine à m'endormir. La pendule. En voilé un de timbre et un de bahaut [bahut?] (oh [Zwy?]) du potin à réveiller un mort. (La lumière électrique du [furnikel?].
Vivent les lutteurs Schwinger.