1921
25 mars
conservée. On revient à 7h prendre le thé, puis l'autobus pour Boudry et le tram pour Auvernier, où on n'arrive qu'à 7h chez Charles-Henri Godet, à la Viticulture, chez qui on dîne, un peu tard; on ne nous attendait plus. Il y a un mot de Perret qui n'a pas de bateau, moteur prêt, le lac étant trop bas. Soir. Causé avec Charles Henri, Marc et Guze, chimiste, qui vient un moment. Couchés chez Charles-Henri et vite endormi. On est un peu moulu d'avoir couru les stations lacustres.
1921
26 mars
Plus couvert. Halo Solaire. Nuages noirs sur le Jura. Baromètre baisse 1 peu. Chaud. Après-midi et soir. Vent.
Travaux domestiques. Levé à 8h-1/4. Déjeuné chez Charles-Henri qui vient avec nous à la Station lacustre d'Auvernier, puis repart pour Lausanne, où il va dîner chez nous. On parcourt les diverses stations d'Auvernier et on trouve quelques objets. Marc, avec un petit char, rapporte des moulins lacustres, des pierres à polir les haches et en général des pièces très lourdes. Fait quelques photos. Après-midi. Dîné chez Alice. Après-midi. Café, puis train pour Neuchâtel avec Marc. On descend à l'Erole, et on va voir Auguste Dubois de Cotencher (rencontré Mérian et docteur Georges Borel). On y reste 1/2h. On va voir Savoie-Petitpierre, puis on va à Saint-Blaise, poser les sacs, très lourds, chez les Clottu puis on se met à la recherche d'un bateau. Le Docteur Mauler finit par nous en trouver un chez Henri Droz, le fils vient nous chercher le fils Mauler qui nous conduit à la Pointe de Marin. {dessin explicatif à gauche}. On passe sur la vieille barque, naufragée en 1878 ou 1879 puis on cherche, avec quelque peine, la vieille barque de la Pointe de Marin, dont on finit par retrouver l'emplacement et dont le meilleur repère est à peu près le même que celui de la barque devant chez Zbinden, à savoir le triangle herbeux, en haut de la marmière d'Hauterive. Celui de la barque de la