1912
30 sept.
Plus ou moins beau. Après-midi et soir. Couvert. Baromètre baisse.
Travaux domestiques. Levé à 7 1/2. Déjeuné. Visites au village. Consultations. Monsieur Kubler est là pour Adolphe. Après-midi. Cousine Marie repart à 2 1/2. Vélo en ville. Démarches pour un wagon d'[oliéné?]. Comissions en ville. Rentré à 5h. Une admission. Thé. Soir. Fini les notes avec Madeleine. Comptes. Correspondance. Écrit. Mis 4000 francs au chaud à Neuchâtel (Caisse d'Épargne). Thé. Commencé le bail d'Emile. Visites au village. Lu. Soir. Lu - au lit à 12 1/4. Fini les notes avec Madeleine.
1912
1 oct.
Plus ou moins couvert tout le jour. Calme. Baromètre bas.
Travaux domestiques. Levé à 7 1/4. Visites au village. Correspondance. Après-midi. Continué les démarches pour Adolphe. Beaucoup téléphoné. Visites au village. Consultations pour un Russe éventuel. Peu engageant. On me paye mon dernier mois de lait. [Pinard?]. Continué le bail d'Emile jusqu'à minuit. Thé. Fumé. Lu - au lit à 12 1/2.
1912
2 oct.
Sale temps tout le jour. Baromètre bas. Pluie et calme.
Travaux domestiques. Levé à 7 1/2. Correspondance. A 9h, Monsieur Kübler vient pour Adolphe et reste avec nous jusqu'à midi. Comédie du coiffeur. Consultations. Fait voir mes Murillo à Monsieur Kubler. Après-midi. Un peu dormi. Les charpentiers arrangent la cave à Emile. Fini son bail. Correspondance. Visite du Père Bengelly. Thé. Écrit et comptes. Préparé ma valise pour demain. Soir. Les Vittoz viennent souper avec nous. Gentille soirée. Causé. Vin. Fumé. Écrit et lu - au lit à 9 1/2.
1912
3 oct.
Couvert l'après-midi. Plus ou moins beau. Baromètre remonte un peu sous variable. Neige à Saint-Gall.
Travaux domestiques. Levé à 7 1/. Correspondance (beaucoup). Thé. On me téléphone de Saint-Blaise (Madame Clottu). Après-midi. Visites au village. Téléphoné <à?> Saint-Clair. Comptes. Préparé à partir pour Schussenried et Munich. Bricolé en attendant 5 1/2 où une auto doit venir nous prendre. Il n'arrive pas. Téléphoné. Il arrive à 6-1/4 et le train part à 6h13. Il met 5 minutes pour aller à la gare ! Bien embarqués dans un compartiment première classe, avec Monsieur Kubler et un infirmier arrivé de Schussenried. A Neuchâtel, Alice et Titine viennent m'apporter le [Bandeller?] et un [carrel?] de fondants. Dine au wagon restaurant jusqu'à Soleure. [Sans?] arrêt à Zurich où Maybach (Adolphe) veut à toute [garce?] s'en aller promener en ville. C'est là que ce fût le plus dur. On repart vers 11 1/2. Neige à Saint-Gall. Froid à [Ludean?] où on change de train. On casse une croûte et Adolphe boit du lait avec nous.
1912
4 oct.
Bise. Couvert. Froid.
Il le repissera un peu plus loin, dans ses culottes.
A Frédérickhofen, nouveau déménagement. Il commence à faire clair et ça va mieux. On arrive enfin à 7h 1/2 à Schussenried où un congé nous attend et où nous prenons