1909
5 sept.
Sale temps. Baromètre baisse à variable.
Travaux domestiques. Levé à 3 1/2. Réveillé pour un accouchement à la soirée. Rentré à 5h. Hertig qui voulait partir se recoucher jusqu'à 6h. Il repart juste avant la pluie. Recouché jusqu'à 8 1/2. Consultations. Lu. Causé tout le matin avec Monsieur Calame. Une visite à la scie. Après-midi : lu, causé, café. Après le thé, été faire un tour au pâturage. Rentré à 5 1/2. Causé. Soir : idem. Dominos. Lu - au lit à 10 1/2.
1909
6 sept.
Beau. Baromètre remonte.
Travaux domestiques. Levé à 7h. Rasé. Ecrit et comptes. Raccompagné. Monsieur Calame jusqu'au bout du village. Passé chez Cosandier puis refait mes calculs pour le pressoir, où je suis convoqué cet après-midi. Après-midi : visites au village jusqu'à 3 1/2 puis Pressoir. Pour moi, ça va encore, quoiqu'ils cherchent à me carotter 1800 francs qu'on retrouvera l'année prochaine !!! Revenu à la maison puis décidé subitement de faire savoir à la famille ce qu'on cherche à nous carotter ; descendu voir Joseph, puis Edouard Golay qui allait partir avec les Illfiker pour la Prise Imer. Ils m'invitent avec eux à une fondue avec Lehmann. On y va en auto à belle allure. On fait et mange la fondue et causé jusqu'à 10h puis on redescend à pied à Corcelles où on prend le tram. Revu Monsieur Calame. Rentré chez Edouard à 10 1/2. Causé un moment, puis je me décide tout à coup à monter aux Verrières pris l'express et arrivé à minuit. Réveillé Marc et causé jusqu'à 4h. du matin.
1909
7 sept.
Plus ou moins beau. Vent puis couvert.
1909
7 sept.
Réveillé à /-1/4. Déjeuner. Sommairement puis repris le train avec Marc, pour Neuchâtel. Passé chez Edouard Golay puis Scherer. On monte Marc, Edouard et moi à la Chaux-de-Fonds. On va dîner chez René Jacot-Guillarmod. Marc n'a que 50 minutes à rester à la Chaux-de-Fonds. Très bon dîner, joliment servi. Après-midi : on finit de mettre au point l'acte de partage puis on cause jusqu'à 2 1/2. Repris le train à 2 3/4. A Neuchâtel, passé chez les Bovet. Thé puis gare attendre Oscar Eckenstein qui a repris un train et tôt. Rentré en vélo au Landeron. Trouvé. Oscar Eckenstein. Visite - au village. Lu - au lit à 10 1/2.
1909
8 sept.
Couvert. Vent. Baromètre sur variable.
Travaux domestiques. Levé à 7 1/2. Visites au village. Causé avec Oscar Eckenstein. Lu le portefeuille. Après-midi : on attend Max Jacot-Guillarmod qui n'arrive qu'à 7h du soir avec la poste. Lu. Soir : causé avec eux, pas fait grand chose. On reçoit (Joseph vient ici à midi et le soir et repart à 7h)