1906
18 mars
Idem. Baromètre baisse.
Travaux domestiques. Levé à 9h-1/4. Copié 4 douzaines de plaques. Descendu le banc sur la terrasse. Marc et sa financée viennent Dîner et souper. Après-midi : café, été avec Joseph et Horni, à Hauterive et de là, le long des bois jusqu'à la route de Valangin. Revenu avec Joseph par la ville. Gare : commandé un billet circulaire pour l'Italie. Revenu en tram à St-Blaise. Edgar et Madeleine Bovet ont passé en vélo et Madeleine dîne ici. Soir : développé 4 douzaines de plaques. Lavé. Ecrit. Comptes. Ecrit à Barbey. Développé mes 4 douzaines de plaques jusqu'à 10h. Lavé et séché. Lu - au lit à 10h.
1906
19 mars
Pluie et vent. Après-midi et soir : neige. Baromètre baisse rapido puis remonte le soir.
Travaux domestiques. Levé à 8 1/2. Fait deux vitraux pour Cottier. Après-midi : écrit à Fritz. Répendu mes vitraux aux fenêtres de Joseph. Rechangé. Eté pied à Préfargier par un sale temps. Préparé pour une conférence à l'asile. Soupé avec Maurice Dardel et sa famille. Soir : fait ma conférence du premier voyage jusqu'à 9-1/4 puis billard jusqu'à 11h. Rentré à pied. Lu - au lit à 11 1/2. (Joseph va faire des reconnaissances toute la journée avec sacr.)
1906
20 mars
Un peu de neige. Après-midi et soir : bise. Baromètre remonte à variable.
Travaux domestiques. Levé à 9 1/2. Commencé ma valise pour l'Italie. Après-midi : été chercher mon vélo à la gare renvoyé par Marc. Réparé un pneu. Lu. Ecrit à Ferrari, à J.-Girard, à Vaucher et à Carlo Dapples. Soir : aidé à Joseph à corriger son rapport à la commission forestière. Visite du cousin Bovet. Ecrit. Lu - au lit à 11h. Maman est au lit.
1906
21 mars
Bise. Couvert. Après-midi : plus ou moins beau, baromètre baisse.
Travaux domestiques. Levé à 9-1/4. Lu. Fait une potion pour maman qui est au lit et un peu de rhumatisme. Envoyé l'art. à Wasserfallen. Rasé. Continué ma valise ; nettoyé mes clichés. Après-midi : lu, on a dîné à 11h pendant qui à Chaumont. Ecrit, fini ma valise. Lu, ias avec maman. Parti à 5h, train pour Genève (2h d'arrêt) puis pour Turin. A Culot, (un peu dormi), notre wagon direct est débridé ; on change et comme il n'y a pas de place pour dormir en deuxième classe je vais en première où je suis seul
