1903
22 oct.
Couvert. Plus ou moins sale temps. Baromètre bas.
Travaux domestiques. Levé à 8-1/4. Ecrit à Mady tout le matin. Après-midi : lu. Commissions. Commencé une lettre pour Richard. Ecrit à Fankhauser et envoyé 10 douzaines de plaques guillt et deux douzaine de copies. Porte, commissions. Ecrit. Commencé une réclame pour Sandoz. Lu - au lit à 10h.
1903
23 oct.
Sale temps. Baromètre bas.
Travaux domestiques. Levé à 8-1/4. Déjeuner. Fait tout le matin des agrandissements. Après-midi : idem. Préparé les photos pour le capitaine Favra. Soir : écrit à Mlle Correvon et trié les photos pour tante Louise (cadeau de maman). Ecrit et comptes. Fait l'expédition pour Favra. Reçu une lettre de Thérèse, une de Mlle Correvon et une carte de Joseph. Le tonneau de mousseux a santé ! du moins sa boucle, il faut le refaire. J'irai voir ça demain. Couché à 10 1/2.
1903
24 oct.
Sale temps. Baromètre bas remonte un peu à variable.
Travaux domestiques. Levé à 7h1/4. Déjeuner. Train pour Couvet. Il n'y a que cousin Edouard qui soit revenu de Chiasso. Eté au bureau où je termine la réclame pour Sandoz. Eté voir au consultation la petite Houriet avec Mr Moebus. Dîné chez cousin Edouard avec Bellenot, ing. A 2h, pris le train pour Neuchâtel. Rencontré Jequier qui va à Montreux et à la gare de Neuchâtel Thérèse Dubied qui est tout desemparée. Bille lui a écrit enfin, mais en lui disant qu'il ne peut pas l'aimer, et qu'il veut rompre. Sale individu après en être arrivé pareillement, dans l'intimité d'une jeune fille ! Descendu avec elle en ville, boire une tasse de thé chez Glatthard. Resté avec elle jusqu'à 5 1/2. Eté à St-Blaise où je soupe avec Joseph. Il va entendre Sébastien Favre ; je reste devant le feu de cheminée à attendre Horni qui ne vient pas ; lu - au lit à 11-1/4.
1903
25 oct.
Très beau après le brouillard.
Travaux domestiques. Levé à 8h. Mis en ordre, démonté la carte du tonneau de mousseux. Eté en ville chez Oncle Favre puis chez Sandoz jusqu'à 1h-1/4. Dîné au Vaisseau. Après-midi : revenu à St-Blaise. Rencontré Horni ; je l'engage à venir à Chaumont chez Perroset ; ils s'y décident et nous voilà partis par les mauvais chemins. Montés en 2h10, ce n'est pas